Myriem est diplômée d’UniLaSalle en tant qu’Ingénieure Agronome et fait partie d’Ÿnsect depuis 2016. Auparavant et dans le cadre de sa formation, Myriem a eu différentes expériences, parmi lesquelles Chargée de Recherche pour le Paignton Zoo Environmental Park, Assistante Audit pour GAEC Le Colombier, un groupement agricole, ou encore, Chargée d’Etude pour RIKILT Wageningen, un Institut de recherches indépendant. Ces différentes expériences ont mené Myriem à travailler dans plusieurs pays comme l’Angleterre ou les Pays-Bas. C’est d’ailleurs lors d’un stage aux Pays-Bas qu’elle a découvert Ÿnsect : « c’est de là, j’ai compris le défi que cela représentait : un projet innovant et surtout engagé, auquel j’ai voulu apporter ma pierre ». Elle intègre alors Ÿnsect en tant que Chef de projets R&D avant d’évoluer en tant que Chef de projets matières premières et ingrédients.
Aujourd’hui, cela fait 5 ans que Myriem est l’une de nos Ÿnsecters. Et durant ce laps de temps, Myriem a participé à plusieurs projets desquels elle est très fière « je suis fière de travailler sur la formulation du régime alimentaire ou encore au plan de contrôle qualité des matières premières du centre R&D et d’Ÿnfarm ! » ; autant de projets qui témoignent de la transversalité de son poste : « je suis en contact permanent avec les Ÿnsecters et je m’occupe de répondre à leurs besoins, de toujours leur trouver une solution ». Selon elle, les qualités indispensables pour faire son travail sont la curiosité, être à l’écoute et la réactivité : « Il faut pouvoir être en mesure de comprendre et répondre à toutes les demandes et les besoins de chacun ».
Lorsqu’on lui demande quel est son meilleur souvenir chez Ÿnsect, Myriem n’hésite pas : « j’en ai tellement que je ne pourrai choisir ! Je dirais, tous les bons moments et tous les succès accomplis avec les Ÿnsecters ! ». Aux yeux de Myriem, l’esprit d’équipe n’a pas de prix et est primordial pour réussir à relever tous les défis. D’ailleurs, c’est dans l’adaptabilité qu’elle trouve sa force : « c’est la valeur qui me correspond le mieux, personnellement et professionnellement ». C’est donc naturellement que cette exploratrice des temps modernes se dit prête à intégrer les insectes dans son régime alimentaire « dans dix ans, on mangera évidemment du Tenebrio Molitor ! ».